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Absence d’orchestration

A propos de Hans Zender(4) : celui-ci propose « une interprétation composée » du Voyage d’hiver de Schubert, écrite en 1993 pour ténor et orchestre. Pour lui, la sonorité d’un piano transformée en une polychromie orchestrale, n’induit pas une « coloration » unidimensionnelle, mais une permutation de timbres. De même, H. Zender tente de révéler les prémisses de l’expressionnisme à venir ainsi que les racines du compositeur au sein de la musique folklorique.


4 ZENDER, Hans, « Le Voyage d’hiver de Schubert : notes sur mon « interprétation composée » », dans SZENDY, Peter, Arrangements Dérangements, Paris, L’Harmattan, Les cahiers de l’IRCAM, pp. 91-96.

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