Notes :

[1] COTT, Jonathan, Conversations avec Stockhausen, Traduction Jacques Drillon, Paris, Jean-Claude Lattès, 1979, p. 76.

[2] Transcrite sous le titre: «Von Webern zu Debussy. Bemerkungen zur statistischen Form», in: Texte zur Elektronischen und Instrumentalen Musik, Vol. I, Köln, Verlag DuMont Schauberg, 1963, p. 75-85.

[3] La densité relative est calculée par la mise en facteur du nombre de notes différentes que le groupe compte, indépendamment de leur position dans le temps, par la tessiture qu'il occupe, calculée en demi-tons entre la note la plus grave et la note la plus aiguë. Dans ces circonstances, plus près de (1.0), plus proche de la saturation de l'espace chromatique. Logiciel utilisé: SOAL pour OpenMusic (IRCAM ou Mus3).

[4] Si Stockhausen ne mentionne pas textuellement la «répartition spectrale» dans sa liste, les critères «Klangfarbe», «Tonhöhenlage», «Lautstärke» ou encore «Dichte», abordent implicitement certains aspects de celle-ci.

[5] Une bonne référence en français est le numéro spécial Kalheinz Stockhausen, Contrechamps, n° 9 (1988). Egalement: MACONIE, Robin, The Works of Stockhausen, London, Marion Boyars Inc., 1981; HELLFER, Claude,«La Klavierstück XI de Kalheinz Stockhausen», Analyse Musicale, n° 30 (1993), p. 52-56.

[6] op. cit. p. 52. BOEHMER, Konrad, Zur Theorie des offenen Form in der neuen Musik, Darmstadt, Tonos, 1967, p. 71-84.

[7] Universal Edition N. 12654 LW (1957).

[8]Cf. STOCHAUSEN, K. « …comment passe le temps… » . Contrechamps nÂș 9 (1988), p. 26-65.