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À la page suivante de ce même morceau « Mizu to Yume » (voir l’exemple musical ci-dessous), la voix entre sans l’intervention du piano, le rythme régulier se compose uniquement de croches, il y a peu de grands intervalles. Cette écriture « quasi recitativo » est à l’opposé de la partie précédente où le piano joue en solo.
Malgré le style relativement plus « classique », cette œuvre de jeunesse, par son écriture vocale, par sa construction intervallique (l’intervalle de 2 et de 7), par son utilisation des éléments opposés, par son emploi de la répétition sur une note, montre en revanche déjà quelques caractéristiques qui vont constituer le langage musical de Taïra.
Exemple musical 3 : « Mizu to Yume » de Y. Taïra, p. 7.
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